Partager l'article ! Le sofa: Claire était nue… entièrement nue. Antoine l’avait installée, couchée sur le canapé, les mains attachées par un petit ruban de ...
Claire était nue… entièrement nue. Antoine l’avait installée, couchée sur le canapé, les mains attachées par un petit ruban de soie rouge. Les petits jeux de langue sur ses tétons tendus et la caresse suave du plumeau sur sa peau l’avaient complètement électrifiée. Son bassin ondulait comme une vague chaude qui vient s’échouer sur le sable de la plage. Cuisses écartées, tout son corps implorait la délivrance que pourrait lui procurer son partenaire au moment où il la pénètrerait. Mais lui prenait tout son temps pour faire grandir encore plus son désir, comme s’il n’avait que faire de ses petits gémissements.
Il la retourna en lui cambrant bien haut les reins, et en reposant confortablement sa tête et ses épaules sur l’assise du sofa. Il lui écarta fermement les cuisses. Claire tremblait d’excitation. Elle se sentait vulnérable, sa chatte trempée impudiquement offerts aux regards malicieux de son amant.
Antoine s’agenouilla derrière elle. Il approcha son visage de l’offrande qu’elle lui faisait. Elle sentit la caresse de son souffle chaud remonter tout doucement le long de ses cuisses. Il lui
huma longuement le cul et le con en la gratifiant de petits mots crus et cochons. Ben oui… elle le savait bien qu’elle sentait le sexe. Et que ce n’était pas pour déplaire à Antoine. Mais se
faire traiter de petite cochonne en chaleur la faisait tressaillir encore plus d’envie. Elle sentait sa mouille de plus en plus abondante couler sur le haut de ses cuisses. Antoine posa une main
ferme sur chacune de ses fesses pour les lui écarter. Doucement, il fit glisser le bout de sa langue jusqu’à la naissance de sa raie. Claire tremblait. La langue toute douce et humide de son
amant lui caressait l’entrejambes en effectuant de lents allers retours de son anus à son clitoris, écartant au passage les lèvres de son sexe dégoulinant de suc. La langue s’enfonça dans ses
chairs tendres et roses. Antoine la buvait, et elle adorait ça. Toute ondulante, elle frottait son sexe contre son visage pour qu’il lui enfonce encore plus profondément la langue. Il rythmait du
doigt cette danse gourmande en lui caressant l’œillet mignon tout en exerçant des petites pressions sur l’entrée de son petit trou. Elle sentait ses sphincters se détendre et s’ouvrir tout en
douceur sous cette caresse insistante. Antoine plongea l’autre main sous son ventre pour lui caresser les seins. Des petites décharges électriques lui parcouraient tout le corps à chaque
pincement de ses tétons tout durs. Elle ne put retenir un petit cri lorsqu’il lui enfonça le bout du doigt dans le petit trou tout en continuant à s’abreuver de son nectar.
Antoine la fit glisser sur le côté.
Elle l’entendit déboutonner son pantalon. Puis il vint doucement cogner le bout de sa queue bandée contre l’entrée de sa chatte. Il lui caressait le clitoris du bout de son gland, Claire était en
feu. Elle n’en pouvait plus d’attendre, son regard l’implorait de la prendre là, maintenant. Le mâle s’enfonça en elle d’un coup sec, envahissant sauvagement ses reins, il se cala au plus profond
de son sexe. Claire poussa un râle de plaisir satisfait en réponse à l’assaut tant attendu. Elle sentait la verge d’Antoine se tendre d’excitation et durcir encore plus en elle… "Ohhh
ouiiii…"
Ce “Oh oui” là, Antoine le connaissait par coeur, Claire n’était plus très loin de l’orgasme. Il entama une ronde sauvage de va-et-vient dans son vagin, il la défonçait de ses coups de reins
saccadés, ses couilles venaient frapper la naissance des fesses de Claire au rythme des ondulations de leurs corps qu’ils n’arrivaient plus à contrôler. Le plaisir des deux amants formait une
vague géante qui semblait ne plus vouloir arrêter sa course.
Claire hurlait de plaisir. La bite d’Antoine était devenue dure comme de la roche lorsqu’elle la sentit exploser dans ses entrailles chaudes et humides. Il poussa un cri rauque et sauvage au
moment où sa queue lâchait en de longs jets crémeux des giclées de sperme chaud dans son ventre. Les hanches et les reins de l’amante se cabraient, tendus à la rencontre de ce sexe qui la
pourfendait, comme si elle voulait l’avaler encore plus en elle. Elle tremblait sous la sauvagerie et la violence de son orgasme. Devenue totalement incapable de crier, Claire murmura un dernier
“mmmmmmmh ouiiiii” d’abandon lorsqu’elle s’écroula sur les coussins du sofa.
Ils explosèrent de rire…
Antoine la redressa. Elle tremblait encore de la jouissance qui l’avait submergée, le jus chaud dégoulinait lentement de son ventre le long de ses cuisses. Fragile, repue, elle semblait pourtant
en vouloir encore… Antoine se leva, puis il lui ouvrit la bouche et y glissa le bout encore dur de sa verge pleine de sperme et de mouille. Elle le lécha, le suça avec délectation. Puis il
s’agenouilla devant elle. Ils s’embrassèrent longuement en riant, partageant comme un petit dessert sucré la saveur des deux sexes mêlés dont le goût emplissait sa bouche.
Antoine la prit dans ses bras, il lui détacha les mains, puis il la conduisit sur le devant de la scène pour saluer un public d’une dizaine d’hommes et de femmes qui applaudissaient en se levant,
enthousiastes.