Le blog de claire-et-antoine
L'aigrette s'est envolée sous nos yeux pour aller se nicher et s'ébrouer tout au fond de la Ria, facétieuse, fuyant son reflet dans l'optique de l'appareil photo. Assis sur un banc en plein soleil, nous étions là à tenter de capturer dans l'objectif son envol majestueux lorsque je sentis la main de Claire se poser entre mes cuisses, puis se glisser dans mon pantalon qu'elle venait de déboutonner. Je jetais un œil à droite, à gauche de la droite puis à droite de la gauche... personne ! Je récupérais mon œil et décidais de la laisser faire. Elle s'agenouilla devant moi, entre mes jambes écartées, pour caresser de la langue l'objet de son désir; L'objectif oublia le bel oiseau blanc pour se focaliser sur mon sexe tendu et gonflé dans la bouche de Claire. Clic, clic, hmmmm...
Nous n'entendîmes pas arriver près de nous ce couple de promeneurs. Claire
se releva, rougissante pivoine, et je serrais les cuisses pour tenter de soustraire au regard des deux marcheurs l'objet de son attention.
Les yeux plissés de rire, elle me demanda :
- tu crois qu'on s'est fait serrer ?
Les petits rires entendus et complices de l'homme et de la femme ne
pouvaient laisser planer aucun doute dans le ciel matinal sur ce point là !
- Hmmm... ce n'est pas bien grave... c'est trop bon... continues
!
Alors que Claire approchait de nouveau voluptueusement sa bouche de
mon sexe, l'aigrette, splendide navigatrice aérienne passa sur nos têtes dans un bruissement d'ailes. Quand soudain :
- Antoine, oublies ! J'ai rangé mes chaussures sous le camion
cette nuit... on les a oubliées en partant ce matin, il faut qu'on retourne les chercher tout de suite !